Prestige N° 262, Mai 2015
Rose des Vents. Bracelet, or rose, diamant et opale rose. Disponible aussi en or jaune, diamant et turquoise, or jaune, diamant et lapis lazuli. © Dior Joaillerie
L’histoire de la Maison Dior en filigrane
Tout commence à Granville, dans la villa face à la mer où Christian Dior a passé son enfance. Elle s’appelle les Rhumbs, du nom des trente-deux divisions de la rose des vents. Tout en elle pousse au voyage, jusqu’au bassin, à l’arrière de la maison, dont le fond de mosaïque reprend le motif d’une rose des vents. C’est aussi dans ce parc que naîtra la passion du couturier pour les fleurs : l’aubépine, le réséda et surtout la rose, sa préférée. Plus tard, à Paris, c’est en trouvant au sol, une étoile un peu mystérieuse que Christian Dior décida d’ouvrir sa propre maison de couture, y voyant le signe de sa destinée. De Paris ensuite, son étoile porte-bonheur en poche, il partit aux quatre vents présenter ses collections, où, toujours la rose tenait la part belle. Ce sont toutes ces histoires que l’on retrouve dans la collection Rose des vents de Victoire de Castellane, la directrice artistique de Dior Joaillerie. D’or jaune et de nacre, de lapis lazuli ou de turquoise, ou bien d’or rose et d’opale rose: les bijoux ont la délicatesse d’une petite histoire que l’on raconte sur le ton de la confidence. «Derrière le symbole du voyage, on retrouve l’étoile de Christian Dior et l’idée d’un porte-bonheur, mais aussi la rose, sa fleur fétiche.»