Chez Valentino, les fleurs s’étendent, agrandies comme des exclamations.
Les tissus deviennent présents et compacts, tandis que les silhouettes se stratifient.
Aux pantalons comme constante, s’ajoutent les vestes avec le jour comme horizon.
La féminité d’un aplomb, d’un pli, d’une plume de métal ou d’un drapé sur un sac.
La grâce dans les mouvements…Saisi et coincé dans un moment, ce frémissement.
La verticalité comme vigueur.
Les couleurs se multiplient dans la symphonie d’un monochrome perturbé par de multiples tissages. Le noir s’étend tout puissant.